Loja, dernière étape d’Equateur – 28/06 au 29/06

Porte de Loja
Porte de Loja

L’arrivée à Loja se fait en début d’après-midi ce qui nous laisse le temps de chercher un hôtel. La ville de Loja ne présente pas beaucoup d’intérêt. C’est ici qu’il faut prendre la décision du lieu de passage de la frontière :

– soit par La Balsa (côté sierra/Amazonie) : passage de frontière tranquille, sécurisé mais route en construction et très difficile.

– soit par Macara (côté Sierra à l’entrée du désert) : passage de frontière plus fréquenté, route plus facile, désert dangereux (braquage de cyclotouriste), chemin pour Trujillo et la casa de ciclistas.

Notre premier choix était de passer par Macara, mais ne voulant prendre aucun risque nous nous sommes penchés vers La Balsa, puis sur l’itinéraire à suivre au Pérou. Cependant nous nous sommes vite rendu compte que pour ne pas perdre de temps sur des routes impossibles, il nous faudrait prendre un bus. Quitte à prendre un bus, autant passer par là où on avait prévu de passer au départ : Macara. Après toutes ces longues interrogations sur l’itinéraire et la sécurité, nous décidons de prendre un bus de Loja à Trujillo.

Vilcabamba, la vallée sacrée
Vilcabamba, la vallée sacrée

Avant le départ, nous partons visiter Vilcabamba. Cette ville du Sud de l’Equateur à 1500m d’altitude est réputée comme étant la vallée des centenaires. Cela a attiré de nombreux hippies puis des retraités américains et enfin quelques touristes. C’est dans cette ambiance que nous visitons la ville et ses environs. Nous allons dans la réserve privée Rumi Wilco faire quelques ballades, le temps de profiter de cette nature environnante.

Eglise de Vilcabamba
Eglise de Vilcabamba

De retour à Loja, nous profitons de nous équiper de quelques pièces de rechange pour les vélos car s’approvisionner au Pérou et en Bolivie s’annonce très difficile. Puis nous embarquons nos vélos dans un bus qui nous amènera jusque la frontière Péruvienne. Ce sont nos derniers moments en Equateur, nous avons un petit pincement au cœur en quittant ce pays qui nous a vraiment charmés.

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